Un jour je me suis réveillé à l’aube de mes pensées,
Certaines volaient dans tous les sens joyeuses, heureuses,
D’autres virevoltaient piaillaient,
Comme des oiseaux par temps d’orage,
D’autres silencieuses presque prostrées,
Triste et malheureuse n’osent s’exprimer,
D’autres posées majestueuses,
Sûres de leur présence,
Effrayantes de suffisance
D’autres ne sachant où aller
Doutant de leur propre capacité
A vivre autonome et à évoluer.
J’ai vu tout ça autour de moi, à la fois ciels d’automne, d’hiver
De printemps et d’été, ciel d’orage, ciel gris, ciel sans nuages,
Ou si peu et tellement légers.
J’étais à l’aube de la vie,
Et je regardais tous ces ciels,
Qui m’appartenaient…