Guérir de ses blessures n’est pas chose évidente au début. Chacun fait ce qu’il peut comme il peut dans les moments difficiles qu’il traverse.
J’ai mis beaucoup de temps, j’ai épuisé beaucoup de colères, je souriais facilement (du moins en apparence) à la vie espérant avoir en retour un sourire de sa part, j’ai fait des cauchemars, j’ai pleuré, je me suis recroquevillé en espérant oublier, ou en espérant que toute cette histoire m’oublie au bord de son chemin. J’ai refais le temps, je l’ai remonté plus d’une fois péniblement, avec l’espoir de retrouver le soleil de mes quinze ans, en vain.
Je me suis épuisé, j’ai tout épuisé, mes stratagèmes et mes idées. J’ai même tenté d’oublier, j’ai appris à faire semblant, à me mentir, simplement pour tenir bon. Tout me revenait à la figure, comme un boom rang. Je m’éloignais de mes réalités de mes souffrances auxquels j’étais relié par un élastique que je tendais à l’extrême, mais l’effet de l’élastique est terrible, il me ramenait d’un coup d’un seul sans ménagement pour me rappeler sans états d’âme à la réalité de l’histoire, pourtant je m’accrochais à tout ce qui passait pour éviter ce retour brutal, rien à faire la réalité est plus forte.
Maintes fois j’ai recommencé le même stratagème, j’espérais que l’élastique allait tôt ou tard lâcher du lest et s’épuiser, il n’en était rien bien au contraire il prenait de la force et réagissait de plus en plus vite.
J’ai enfin compris que mes solutions étaient vaines, alors je suis allé au fond de la souffrance, je suis allé à la rencontre de mon histoire, j’ai finit par trouver dans ce qui me semblait un trou noir sombre, de la lumière, j’ai compris que le noir absolu ne peut exister, j’ai compris que même le noir m’a apporté, que malgré son côté effrayant il peut être un compagnon utile, j’ai appris à ne pas me fier aux apparences, j’ai appris à apprécier le noir pour mieux voir la lumière qui palpite au fond de lui.
J’ai mis vingt cinq ans pour comprendre tout ça, j’ai mis le temps, mais ce n’était pas là le plus important, car j’ai avancé, j’ai accepté, j’ai pardonné, je suis en paix….
J’ai mis beaucoup de temps, j’ai épuisé beaucoup de colères, je souriais facilement (du moins en apparence) à la vie espérant avoir en retour un sourire de sa part, j’ai fait des cauchemars, j’ai pleuré, je me suis recroquevillé en espérant oublier, ou en espérant que toute cette histoire m’oublie au bord de son chemin. J’ai refais le temps, je l’ai remonté plus d’une fois péniblement, avec l’espoir de retrouver le soleil de mes quinze ans, en vain.
Je me suis épuisé, j’ai tout épuisé, mes stratagèmes et mes idées. J’ai même tenté d’oublier, j’ai appris à faire semblant, à me mentir, simplement pour tenir bon. Tout me revenait à la figure, comme un boom rang. Je m’éloignais de mes réalités de mes souffrances auxquels j’étais relié par un élastique que je tendais à l’extrême, mais l’effet de l’élastique est terrible, il me ramenait d’un coup d’un seul sans ménagement pour me rappeler sans états d’âme à la réalité de l’histoire, pourtant je m’accrochais à tout ce qui passait pour éviter ce retour brutal, rien à faire la réalité est plus forte.
Maintes fois j’ai recommencé le même stratagème, j’espérais que l’élastique allait tôt ou tard lâcher du lest et s’épuiser, il n’en était rien bien au contraire il prenait de la force et réagissait de plus en plus vite.
J’ai enfin compris que mes solutions étaient vaines, alors je suis allé au fond de la souffrance, je suis allé à la rencontre de mon histoire, j’ai finit par trouver dans ce qui me semblait un trou noir sombre, de la lumière, j’ai compris que le noir absolu ne peut exister, j’ai compris que même le noir m’a apporté, que malgré son côté effrayant il peut être un compagnon utile, j’ai appris à ne pas me fier aux apparences, j’ai appris à apprécier le noir pour mieux voir la lumière qui palpite au fond de lui.
J’ai mis vingt cinq ans pour comprendre tout ça, j’ai mis le temps, mais ce n’était pas là le plus important, car j’ai avancé, j’ai accepté, j’ai pardonné, je suis en paix….